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Le lexique du coaching
Une interrogation sur des termes du coaching ? Consultez notre Lexique ci-après.
Analyse transactionnelle
Ref wikipedia :
L'analyse transactionnelle (aussi appelée AT) est une théorie de la personnalité et de la communication. Elle postule des « états du Moi » (Parent, Adulte, Enfant), et étudie les phénomènes intrapsychiques à travers les échanges relationnels, appelés « transactions ». Cette théorie a été fondée par Éric Berne, médecin psychiatre américain, dans les années 1950 à 1970.
L'analyse transactionnelle vise à permettre une prise de conscience ainsi qu'une meilleure compréhension de « ce qui se joue ici et maintenant » dans les relations entre deux personnes et dans les groupes. L'analyse transactionnelle propose des grilles de lecture pour la compréhension des problèmes relationnels ainsi que des modalités d'intervention pour résoudre ces problèmes.
Assertivité
C'est la capacité à s'exprimer, à défendre sa liberté, ses droits sans empiéter sur ceux des autres.
Assertivité dérive d'assertion qui elle-même dérive du latin assertio "revendication de la condition libre", "affirmation".
Changement
def Petit Robert : Fait de quitter une chose, un état pour un(e) autre. Etat de ce qui évolue, se modifie.
Coaching
Le coaching est l'accompagnement d'une personne dans la réalisation d'un objectif ou la résolution d'une problématique.
Le coach se positionne comme accompagnant dans l'ici et maintenant, en proposant des démarches et outils pour solliciter la réflexion du coaché. Ainsi le coaché décide d'orienter ses actions et de choisir ses moyens pour tendre vers l'objectif voulu.
Concentration
def Petit Robert : application de l'effort intellectuel.
Confiance en soi
Ref : C. André et F. Lelord. Source : MT
C. André et F. Lelord affirment que la confiance en soi est directement reliée à l'estime de soi, et qu'elle serait une mise en action de l'estime.
Donc une concrétisation de l'estime de soi, évaluable via des actes. La confiance en soi est donc basée sur la vision de nos capacités dans et pendant l'action.
Source MHD :
La confiance en soi est le sentiment qu’éprouve celui qui sait qu’il peut compter sur lui-même pour faire face aux circonstances et aux défis de la vie.
Croyance
Ref MHD :
Une croyance est un système de pensée : tout ce que nous pensons, croyonsconstitue notre système de croyances. L’homme n’est qu’un système de croyances.
Une croyance est quelque chose que nous admettons comme vrai sans l'avoir vérifié. Selon Anthony Robins, une croyance est un puissant état affectif de certitude. Les croyances sont très utiles, elles nous permettent d'avoir une représentation relativement compacte de ce que nous pensons être la réalité, elles assurent la cohésion et la stabilité de notre système. Sans nos croyances, nos représentations seraient pleines de... trous! Exactement comme un gruyère.
Nous entretenons des croyances sur ce que nous pensons être vrai (réalité). Pour valider notre construction, nous recherchons en permanence dans le réel ce qui confirme ces croyances. Tout ceci nous rassure et permet une certaine cohérence à notre construction. Nos croyances nous paraissent donc naturelles, universelles ou partagées par des personnes « de bon sens ». Bref, elles sont « vraies ».
Ref MT :
Les croyances jouent un rôle de filtre de la réalité, entraînent souvent une collecte d'informations partisanes qui en retour, renforcent la croyance. Perçues comme vraies, elles déterminent souvent nos comportements.
Les croyances sont souvent élaborées avant l'âge adulte, dans des moments forts.
Emotion
Qu'est ce qu'une émotion ?
Réf : A. Damasio Source : MT
Chaque situation perçue (de façon consciente ou non) ou remémorée s'accompagne d'une réaction de l'appareil émotionnel par la mise en jeu d'inducteurs émotionnels. Ces inducteurs émotionnels (qui peuvent également s'appeler ancrages, marqueurs somatiques ou déclencheurs) sont toujours liés à une image visuelle, auditive ou kinesthésique. Les inducteurs émotionnels activent les sites neuronaux prêts à répondre à cette classe d'inducteurs. Ce sont les sites sous-corticaux ou pré-frontaux de coordination de la réponse. Ces sites sont soit pré-programmés (instinct), soit construits (apprentissage, conditionnement). Une fois activés, ces sites neuronaux envoient des signaux vers d'autres sites spécialisés (vicères, comportement...) ce qui entraîne le création d'un état émotionnel particulier. Cet état émotionnel particulier peut être négatif ou positif, et il accède, ou non, à la conscience.
Cet état émotionnel particulier peut se caractériser par :
- d'un point de vue kinesthésique :
- des changement d'état du corps, des ressentis.
- des signes particuliers du corps, des comportements - d'un point de vue auditif :
- des mots clés, ou monologues internes
- des discours externes - d'un point de vue visuel :
- des représentations visuelles
Les émotions s'expriment consciemment ou non, à travers le comportement en découlant (sur le visage, dans un cri, un essouflement...).
Dans notre vie quotidienne, qui est une suite d'action, ce mécanisme fonctionne en permanence : cela signifie que chaque comportement, parole ou action sont associés à une émotion particulière !
Et donc chaque décision que nous effectuons est précédée d'une émotion (plus ou moins forte, plus ou moins conscientisée ) !
"L'émotion est à la décision ce que la posture est au geste." Berthoz
"L'émotion n'est pas une conséquence de l'action, mais au contraire une préparation à agir" Ledoux
Estime de soi
Ref : C. André et F. Lelord. Source MT
L'estime de soi, selon C. André et F. Lelord, se compose d'un socle : l'amour se soi, qui dépend en partie des nourritures affectives reçues de notre entourage (famille, hiérarchie, etc...).
Sur ce socle, repose la vision de soi, qui est la conviction, indépendante de la réalité, que l'on porte de soi. Cette vision de soi est une force intérieure subjective qui dépend des croyances, des valeurs, que l'on porte sur soi.
C. André et F. Lelord affirment que la confiance en soi est directement reliée à l'estime de soi, et qu'elle serait une mise en action de l'estime, évaluable, en lien avec des faits rééls.
Source MHD :
L’estime de soi, c’est en fait une évaluation, donc un jugement de valeur à propos de soi. Pour cela, il est nécessaire d’avoir une représentation de soi qui ne peut être évaluée que par rapport à quelque chose qui sert de mesure pour l’idéal du moi (ce que la personne voudrait être et être capable de sentir ou de faire). La confiance en soi est le sentiment qu’éprouve celui qui sait qu’il peut compter sur lui-même pour faire face aux circonstances et aux défis de la vie.
Quoi qu’il en soit, nous avons toujours la même valeur et importance. Seule une telle croyance peut donner une base sécurisante pour l’estime de soi. Et rappelons-nous qu’avec les croyances naissent aussi les valeurs.
L’estime de soi est donc une évaluation positive de soi-même, fondée sur la conscience de sa propre valeur et de son importance inaliénable en tant qu’être humain. Une personne qui s’estime se traite avec bienveillance et se sent digne d’être aimée et heureuse. L’estime de soi est aussi fondée sur le sentiment de sécurité que donne la certitude de pouvoir utiliser ses capacités, son librearbitre et ses facultés d’apprentissage pour faire face de manière efficace et responsable aux défis et aux événements de la vie.
Les personnes « considérées » pensent qu’elles ont de la valeur, qu’elles sont dignes d’être aimées et heureuses. Elles sont d’ailleurs souvent compétentes, se donnent le droit à l’erreur, savent qu’elles peuvent apprendre, sont responsables de ce qui leur arrive, sont inclines à agir, sont confiantes, gaies, créatives et ont le sens de l’humour, elles ont des attentes positives, se sentent les égales des autres, ont des rapports agréables et constructifs, sont souvent calmes, coopératives, sociables, bienveillantes, sentent qu’elles n’ont rien à prouver, ne craignent pas le jugement d’autrui, sont sans préoccupation parasitaire, savent écouter, elles se respectent, s’affirment.
Les personnes qui « manquent d’estime de soi », souffrent de difficultés d’adaptation. Comme elles ne savent pas si elles peuvent compter sur ellesmêmes, les changements leur font peur, elles se montrent souvent contrôlantes et rigides, elles ont plus de difficulté à admettre leurs erreurs, elles se montrent facilement défensives. Dans ce cas, l’autre est facilement perçu accusateur, voire menaçant ou encore une source d’humiliation et de rejet. Elles ont le désir d’avoir raison, ce qui suppose que l’autre à tort. Elles risquent fortement d’osciller entre ce qu’elles croient être la conformité au désir de l’autre et une rébellion contre ce désir. Elles ont de la difficulté à communiquer surtout honnêtement et ouvertement et cherchent un miroir favorable. Elles doutent de l’amour qu’on leur porte, vivent dans une insécurité permanente et font parfois preuve d’une jalousie maladive.
Il est possible d’avoir une bonne estime de soi dans un domaine et une moins bonne dans un autre. Il faut se garder d’évaluer l’estime de soi, domaine par domaine, avec une mesure binaire (blanc ou noir et présent ou absent). Notre estime de soi et notre confiance en soi se modifient au cours du temps, et nous avons la responsabilité et le pouvoir de les faire évoluer positivement.
Motivation, motiver
Def Petit robert : motiver : créer des motifs d'action.
Ref théorie systémique : La motivation est une résultante d'une interaction entre les objectifs d'un individu, ses émotions à un moment donné, l'appréciation de ses capacités et la perception qu'il se fait des opportunités qu'offre son environnement.
Elle est donc directement dépendante de la qualité de : l'état de forme de l'individu (son énergie), la gestion de ses émotions et la gestion de l'estime de soi.
Objectif
Def petit robert : But précis d'une action. But que l'on assigne à une action.
En coaching nous différencions plusieurs natures d'objectifs : objectif de maîtrise et objectif de résultat.
Phobie
def petit robert :...
Pnl (Programmation neuro-linguistique)
Ref Wikipedia :
La programmation neuro-linguistique (acronyme français : « PNL », « NLP » en anglais ; parfois avec des majuscules est un ensemble coordonné de connaissances et de pratiques dans le domaine de la psychologie fondées sur une démarche pragmatique de modélisation, en ce qui concerne la communication et le changement. Elle a été élaborée par Richard Bandler et John Grinder dans les années 1970, aux États-Unis.
Lorsque le psychologue, alors étudiant, Richard Bandler et le linguiste John Grinder, en 1976, inventent le terme de « PNL », leur démarche s'inscrit uniquement dans le domaine de la psychothérapie, en s’inspirant du travail d'autres psychothérapeutes, dont Fritz Perls, Milton Erickson et Virginia Satir. Autour de 1980, ces concepteurs s'intéressent à d'autres domaines comme ceux de la créativité, du sport, du management, de la pédagogie, et de la communication. Si les premiers modèles décrits en PNL sont linguistiques, ils sont suivis par d'autres outils permettant de repérer et de changer les représentations mentales sensorielles d'un sujet. Le modèle des niveaux logiques de Robert Dilts offre par la suite une analyse plus globale des problèmes et une organisation coordonnées de toutes les techniques PNL. Une troisième génération de développements tend à émerger et correspond aux changements dans des groupes humains.
Démarche se pensant comme pragmatique, c'est-à-dire orientée vers l'expérience, la PNL se caractérise par la modélisation des gens de talent, c'est-à-dire par le repérage, la description et l'imitation des pratiques et comportements à succès, puis par leur transmission. À ces premiers modèles, s'ajoutent des protocoles observés chez d'autres thérapeutes. La PNL se fonde également sur des présupposés et un ensemble de techniques permettant de décrire et d'agir sur la subjectivité.
La PNL vise à améliorer la communication entre individus, à s’améliorer personnellement et tend à devenir une psychothérapie intégrative, c'est-à-dire qui cherche à intégrer de manière pratique les apports des différentes théories. La Psychothérapie Neuro-Linguistique (PNLt) rapproche pratique thérapeutique et acquis de la PNL. Cette dernière peut être employée au sein de cadres divers, aussi bien personnel qu'en entreprise, dans le marketing, la vente, la pédagogie, la performance sportive.
Préparation mentale
La préparation mentale, issue du monde sportif, est l'entraînement d'athlète(s) visant à améliorer les capacités non-physiques. La préparation mentale aborde donc les capacités de concentration, communication, gestion de l'energie, gestion des émotions, confiance en soi, etc...
- méta
- projection mentale
- séance de coaching
- communication
Def Petit Robert : emprunté au dérivé latin communicatio "mise en commun, échange de propos, action de faire part".
La communication est le fait de communiquer. Communiquer a été emprunté au latin communicare et a donc signifié d'abord "avoir part, partager", puis "être en relation avec".
Process Com
A venir...
Sentiment
Réf : A. Damasio
Le sentiment est la représentation mentale d'une émotion rendue consciente.
Autrement dit c'est l'image que l'on se fait (donc privée, subjective, consciente) d'une émotion conscientisée, donc ressentie.
Stress
Le stress est une réponse, une réaction de l'organisme à une agression. C'est donc l'adaptation de l'organisme à un stimuli.
D'un point de vue cognitif (psychologique) la définition du stress s'enrichit :
Le stress est un processus qui résulte pour un individu d'un décalage entre la perception de ses ressources permettant de répondre à la perception d'une demande. Il y a stress quand l'individu considère que la demande est en décalage avec ses possibilités de gérer la situation. Que la demande soit externe (sociale) ou interne (affective).
Valeur
Ce que réprésente quelque chose, ou quelqu'un, une fois conscientisé via notre système de croyance.
La valeur est à la croyance, ce que le sentiment est à l'émotion.

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Comment éviter de prendre la décision que vous aurez à regretter plus tard ? En fait, il ne s’agit pas de considérer qu’une décision est bonne ou mauvaise, mais plutôt qu’elle est consciente. Si vous avez rassemblé toutes les données, évalué les risques, pesé le pour et le contre, et accompli tout ce qui relevait des processus mentaux logiques...
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